Une histoire qui donne froid dans le dos!
Cette histoire, rapportée par le site The Guardian, donne des frissons dans le dos…
C’est en 1995, à 20 ans, que cette femme a déménagé à Enumclaw, une ville agricole de l'État de Washington, aux États-Unis, pour se rapprocher de son frère et de sa famille.
La chambre qu’elle avait loué se trouvait au dernier étage, mais dès sa première nuit, allongée dans son lit, elle a entendu des pas au-dessus d'elle.
Au fil des mois, elle a commencé à remarquer des disparitions. Elle achetait un pack de six sodas, en buvait un, rentrait du travail et n'en trouvait plus que quatre. C'était pareil avec les sachets de soupe et les nouilles ramen. Elle remarquait aussi que les portes qu'elle avait laissées ouvertes étaient fermées, ou vice versa.
En fait, elle trouvait ça amusant : elle pensait que son frère, qui avait une clé, venait manger son repas. (Avec le recul, elle aurait dû se douter que ce n'était pas lui, car il y aurait eu de la vaisselle sale partout.)
Et puis elle a décidé d’adopter un chiot. Pendant qu'elle l’entraînait à être propre, elle le gardait dans la salle de bain. Un jour, alors qu'elle était absente, l'appartement a été inondé. En rentrant à la maison, elle a trouvé le chiot minuscule dans l'évier. Elle ne savait pas comment il avait pu arriver là-haut, à moins que quelqu'un ne l'ait déposé là pour le sauver.
Elle entendait toujours des pas. Il y avait une trappe au plafond, menant à ce qu’elle supposaiy être un grenier. Elle a demandé à sa propriétaire si quelqu'un pouvait être là-haut. Elle lui a répondu : « Pas question, c'est probablement un écureuil ou un raton laveur. » Elle a donc repoussé cette idée.
Puis un jour, elle a appelé son travail pour dire qu’elle était malade. Elle est restée allongée sur le canapé toute la journée et, à 23 heures, elle a éteint les lumières, allumé une bougie et fait couler un bain. Alors qu‘elle était dans l'eau, elle a remarqué que la trappe du grenier était ouverte. Soudain, tou tes les pièces du casse-tête se sont mises en place : les pas, la nourriture qui disparaissaient, le chiot…quelqu'un était dans SON appartement.
Sa première pensée a été que si la personne qui se trouvait dans son grenier voulait la tuer, elle serait déjà morte. Ça faisait déjà six mois après tout que toute cette histoire durait. Elle a supposé que son « intrus »devait être un homme, ou quelqu'un d'assez grand pour monter dans le grenier sans échelle.
Elle savait qu’elle devait rester calme et ne pas l'effrayer, au cas où il lui ferait du mal. Elle est dirigée toute nue dans sa chambre chercher son peignoir, passant devant le placard à miroir où elle le soupçonnait de se cacher. Puis elle est allée à la cuisine, a sorti un marteau du tiroir à bric-à-brac pour se protéger et elle a appelé sa belle-sœur tout en murmurant : « Je crois qu'il y a quelqu'un chez moi. » Sa belle-sœur a tout de suite répondu : « Sors, j'arrive. »
Trois minutes plus tard, elle était dehors. Les deux femmes sont retournées à la maison de la belle-sœur et elles ont appelé la police. Ils n'ont trouvé personne, mais il y avait un tas d'objets dans le grenier : un sac de couchage, de la nourriture et un livre (ils ne lui ont jamais dit ce que l’intrus lisait). Le lendemain, cette femme a annoncé à sa propriétaire qu’elle déménageait tout en lui donnant une copie du rapport de police, qui mentionnait des « signes d'intrusion possible ».
Pendant des années, cette expérience a hanté la locataire. Quand elle était seule chez elle, elle avait l'impression d'être surveillée.
La maison où elle habite maintenant, dans l'Illinois, n'a pas de grenier, heureusement. Elle y vit avec mon mari, ses deux enfants, un chien et deux oiseaux. Malheureusement, son chiot a été renversé par une voiture deux ans après son départ de cet appartement de Washington. Elle pense souvent qu'il était le seule à avoir vu ce qui se passait dans l’appartement.
L'inconnu n'a jamais été arrêté. La police ignorait totalement ce que l'intrus faisait là. C'était une ville tranquille, où il n’y avait pas de personnes itinérantes visibles.
Elle éprouve de la compassion pour l'intrus ; il n'était pas malveillant. Et, honnêtement, c'était le meilleur colocataire qu’elle n’ait jamais eu. Il était discret, silencieux et abaissait toujours le siège de la toilette!
Elle n'a jamais pu en être certaine, mais elle crois l'avoir vu une fois. Elle sortait de son appartement pour aller faire les courses et il y avait un homme d'une trentaine d'années aux cheveux roux, assis là, comme s'il attendait quelque chose. Il l’a regardée plus longtemps que ce qui est socialement acceptable et elle a trouvé ça bizarre. À son retour, il avait disparu. Elle n'y a pas prêté attention, mais maintenant elle se demande… peut-être savait-il tout d’elle!
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